Les 16 et 17 novembre dernier, c’était “workshop” pour l’ensemble des étudiants inscrits en pub à l’ESA !
La créativité et donc la recherche d’idées sont les bases du métier de publicitaire, raisons d’être de notre workshop en publicité.
Outre ce objectif premier, l’idée est de favoriser l’échange, le travail collaboratif et la rencontre des étudiants en pub, toutes années confondues.
De plus, la présence des professionnels est atout majeur pour découvrir d’autres techniques de recherches d’idées, de mode de pensées et s’enrichir de leurs expériences.
Nous pensons en effet que c’est par la mise en contact avec des personnes issues du milieu de la pub que nous pouvons renforcer l’identité professionnelles des étudiants. Dans le cadre de ce workshop, nous avions la chance de recevoir Sébastien Lamy (Super Creative Manager @ La Superboite / Founder ), ainsi que Laurence Lising (AD) et Jéremy Paul (AD), anciens étudiants.
La présence d’un client potentiel, le TEC, (et plus précisément Alice Thonnart, responsable communication externe et interne du TEC) a eu pour effet une émulation positive lors du workshop, lequel s’est étalé sur deux jours (mercredi PM et jeudi toute la journée). La session du mercredi était centrée sur la recherche d’idées sans censure; le but étant d’en faire émerger un maximum. Le jeudi était structurée autour de trois objectifs : sélection de l’idée (1), traduction en un concept (2) et déclinaison de ce dernier (3). Enfin, les étudiants ont clôturé la journée en présentant leurs projets oralement (pitch projet) au client.
Un workshop qui s’inspire donc de la réalité du métier avec en toile de fond fun et convivialité.
Quelques réalisations à l’issue du workshop :
L’ESA en mission princière au Japon
by Vincent Martorana
L’ESA en mission princière au Japon
Durant la première semaine de décembre, L’ESA Saint-Luc Liège participera à la mission économique princière au Japon.
Fabienne Pironet accompagnera Etienne Simon et Hugo Piette. L’option BD a vu dans cette mission une opportunité à saisir pour initier des contacts avec des établissements d’enseignement supérieur japonais. Pouvoir développer un partenariat avec des écoles qui ont un département manga serait en effet une richesse pour répondre aux besoins et aspirations de nos étudiants et collègues.
Une dizaine de nos étudiants participeront à la première Game Jam belgo-japonaise organisée dans le cadre de cette mission et auront l’occasion d’y collaborer avec des étudiants japonais et belges provenant de divers types d’établissements (écoles d’art, hautes écoles et universités). Vous pourrez suivre de près cette Game Jam, observer et interagir avec les participant.e.s via Discord (la plateforme favorite des gamers) via le lien suivant : https://discord.com/invite/thKqdHzBNP.
Retour d’experience, jour après jour
(par Etienne Simon, professeur en BD)
Lundi 5/12
Un premier rendez-vous avec Madame Akiko Hayashi, responsable des relations internationales de la Joshibi University of Art and Design était prévu. Nous avons rencontré dans l’après-midi madame Hiroko Uchiyama même d’autres responsables de l’établissement et participé à une visite explicative de l’école. Celle-ci est uniquement constituée de filles. L’image dans cet établissement est tournée en partie vers l’animation et des programmes créés pour la jeunesse, même déficiente mentale, nous ont été montré. À notre grande surprise, ceux-ci sont même disponibles sur l’Apple Store. Le côté international de l’école est souligné par les différents représentants qui nous parlent de leur participation à des manifestations culturelles à Francfort ou à Paris – La Japan Expo notamment.
En soirée, une réception regroupant les officielles et les chargés de la mission rassemble plus de 900 personnes. Des représentants politiques et la Princesse prennent la parole avant le buffet.
Mardi 6/12
Le matin, nous partons du côté de Ueno. C’est l’un des plus grands quartiers de Tokyo, situé au nord-est de la capitale dans l’arrondissement de Taito. Nous devons aller à l’Université des Arts de Tokyo, officiellement abrégée en TUA et couramment abrégée en Geidai. Ms Mariko Kitano désirait nous parler de son travail axé principalement sur la restauration de céramique et marquait son intérêt pour notre section CROA. L’échange a pu se faire en français suite à l’envie et la réelle demande de Ms Mariko Kitano et de Ryutaro Nambu, représentant des échanges internationaux. Ce dernier était secondé par Mio Kuriwaki qui notait nos différents échanges.
L’après-midi, direction le quartier très animé de Shibuya et de la Nippon Designer School. Le quartier est en perpétuel mouvement et nos hôtes nous ont excusé nos 7 minutes de retard. Madame Yuko Zenitani nous a expliqué le fonctionnement et l’historique de son école etKatherine Blancha, américaine d’origine a servi d’interprête. Au niveau du manga et des sections liées, nous avons compris une hyperspécialisation des étudiants en fonction d’un poste précis : storyboard, recherche des personnages, environnements, etc. C’était à la fois vraiment intéressant de comprendre le jusqu’au-boutisme d’une tâche précise et aussi amusant de leur parler du côté auteur européen portant la plupart de ses postes sur ses propres épaules.
Mercredi 7/12
Réveil très matinal : direction Kyoto.
Jeudi 8/12
La journée a commencé par la visite du Kyoto International Manga Museum. Le musée est un partenariat public-privé qui se fait entre la ville elle-même et l’Université de Kyoto Seika. Le musée sert à la fois de mémoire globale pour le manga avec une quantité réellement impressionnante d’ouvrages disponibles mais aussi d’expérience pour l’université qui permet de créer des animations ou de montrer le résultat de leurs productions à travers des publications. Un des professeurs de la Seika nous fait découvrir chaque salle ainsi que les archives.
Nous arrivons ensuite à la Seika pour un lunch et une vidéo de présentation globale de l’école. Il y a différentes sections similaires entre nos deux institutions : design, sculpture, peinture,… mais aussi des cursus liés au dessin plus axé narration et illustration. Nous recevons une multitude d’explications via nos 3 hôtes : Kitawaki Manabu, Takayama Mayumi, Komatsu Toshibiro. La visite a duré jusqu’à la fin de l’après-midi et nous rentrons vers le centre ville avec le bus des étudiants.
Vendredi 9/12
Journée plus libre avec comme seul point de rendez-vous, la GameJam mêlant autant des étudiants japonais que belges afin de réaliser en 48H le meilleur jeu possible. Plusieurs catégories possibles pour les lauréats. Leys Joussot – BAC2 – a reçu avec sa Team le prix du Graphic Design.
Samedi 10/12
Matinée culturelle et dernières heures avant l’ultime mouvement vers l’aéroport d’Osaka. Une nuit courte et on revient vers nos Sweet Home.
Joris Degas, lauréat des Promenades photographiques
18 août 2022 by Elsa Cabergs
Joris Degas, lauréat des Promenades photographiques
Ce concours, lancé depuis 2007, a pour ambition de mettre en lumière les démarches et regards de la jeune génération de photographes issus de plus de vingt écoles de photographie internationales.
Les candidatures sont exposées pendant le festival des Promenades Photographiques de Vendôme, que l’on peut découvrir du 2 juillet au 27 août 2022.
Chaque année, deux prix sont décernés pendant le festival par un jury de professionnels : le prix de la photographie documentaire (remporté par Aurélien Goubau, de l’ESA le 75) et celui de la photographie plasticienne. Et c’est dans cette dernière catégorie que le travail de Joris Degas a su faire résonance aux yeux du jury. Ce dernier était présidé par Marc Simon, membre du conseil d’administration des Promenades Photographique et composé de Fannie Escoulen, cheffe du Département de la photographie du ministère de la culture, Pierre Ciot, président de la Société des auteurs des arts visuels et de l’image fixe (SAIF), Aurélia Marcadier, directrice de PhotoSaintGermain, Nathalie Marchetti, Libération et William Daniels, photographe. Un troisième prix est également décerné par le public.
En plus du prix, le travail de Joris sera exposé dans la programmation officielle des Promenades Photographiques de l’an prochain !
1,2,3, sauter !
24 mars 2022 by Elsa Cabergs
1,2,3, sauter !
Le nouveau livre d’Émile Jadoul aux éditions Pastel / L’école des loisirs
Découvrez son nouvel album : un concentré d’amitié et de jeux à vous faire bondir de joie !
« Grand Lion, on s’ennuie ! » soupirent Lapin, Souris et Écureuil. « On joue à… 1, 2, 3, sauter ! » propose Grand Lion. Lapin veut aller très loin et très fort, jusqu’au rocher. Souris veut partir encore plus loin. Arrive Oiseau, lui aussi veut jouer à « 1, 2, 3… voler ! » « Nous aussi, Grand Lion, on veut voler ! »
Dans ces toutes nouvelles pages, hautes en couleurs et en douceur, nous retrouvons avec (grand) plaisir Grand Lion et ses amis, que nous avions rencontrés dans “Dans mon nid”.
Ensemble, ils nous plongent dans les défis des tout petits et les aident à surmonter leurs peurs, pas à pas, en sautillant joyeusement !
Des pages où l’on retrouve avec délice toute la malice de l’auteur et ses personnages.
Un mot sur l’auteur :
Émile Jadoul est professeur à Saint-Luc. Il enseigne en illustration.
« C’est dans le creux de l’oreille que m’arrivent les mots de mes albums. Mon crayon les dessine et l’aventure démarre. Il neige souvent dans mes images. Un petit lapin m’accompagne; alors je lui mets une écharpe pour qu’il ne prenne pas froid, parfois il la partage. Tiens, c’est le début d’une histoire ! »
Et prochainement en consultation à la Bibliothèque de l’ESA Saint-Luc Liège !
Rob Hopkins à Saint-Luc Liège
23 mars 2022 by Elsa Cabergs
Rob Hopkins à Saint-Luc Liège
Dans le cadre de Nourrir Liège Campus, Rob Hopkins vient nous dire un petit bonjour, casser la croute et découvrir le village circulaire de Saint-Luc…
Le vendredi 25 mars, dès 16h30, devant le B9.
Cette année, le désormais célèbre festival Nourrir Liège, festival de la transition alimentaire, se décline en une version campus, pour et par les étudiants : Nourrir Liège Campus !
À cette occasion, Rob Hopkins (dont voici le lien wiki pour les plus curieux, parce qu’un petit lien vaut mieux qu’un long discours) vient exceptionnellement nous rendre visite à Saint-Luc !
Vous allez assez vite vous rendre compte que c’est pas “n’importe qui” ce petit anglais … Du coup, on en profite pour lui parler du village circulaire (la récupérathèque, le food sharing, etc.), pour lui demander conseil et pour taper causette tout simplement. En gros : on s’inspire et on reprend souffle avant l’été.
Je crois qu’un avenir plus extraordinaire nous attend si nous cheminons vers un avenir plus local et plus frugal en énergie, où nous devenons des producteurs-consommateurs au lieu d’être de simples consommateurs, où la nourriture, l’énergie et les biens essentiels sont produits sur place, où l’économie locale est vigoureuse et où nous vivons selon nos moyens réels.
Rob Hopkins
Informations pratiques :
Quand : vendredi 25 mars dès 16h30
Quoi : un barbecue organisé par les élèves de DI et AI
Où : devant le B9 et la récupérathèque
Prix : le repas est gratuit, prends juste de quoi payer tes boissons, parce que c’est sur : tu seras assoiffé (il fait chaud savez-vous !).
Inscription : via ce lien (ça ne prend même pas une minute top chrono)
Faire un geste
17 mars 2022 by Elsa Cabergs
Faire un geste
Exposition des Bac1 en Photographie aux portes ouvertes des ateliers RAVI
Du vendredi 25 au dimanche 27 mars, les élèves de première année en Photographie exposent aux côtés de Charlotte Beaudry, Joséphine Javier et Ida Ferrand dans le cadre des portes ouvertes des Résidences Ateliers Vivegnis International (RAVI).
Beauté du geste…
Un geste, un simple geste, c’est beaucoup et c’est peu à la fois; trois fois rien, à peine un zeste.
Un geste grave ou léger, le geste de l’homme au travail ou celui de la mauvaise humeur… geste gratuit et donc d’autant plus beau — néanmoins, se méfier de la beauté du geste, ou de son revers ! Vilain geste ou mauvais réflexe, geste d’amour au contraire — qui vaut pour preuve! Un geste pour ou un geste contre, geste symbolique ou de protestation, de révolte. Gestes barrières, de fraîche et sinistre mémoire ! Ou doux geste de la main, de l’ami, de l’amant… Bouger, enfin ! Faire vibrer l’instant, tenter de le saisir ! En plein vol, temps suspendu… oui mais voler c’est pas beau: geste défendu ? Un geste pour conjurer l’immobilisme, se défaire de la contrainte… « la vie remue », comme disait l’autre ! Et sous l’œil de jeunes étudiants, ce réveil fait plaisir à voir.
L’expérience esthétique nous a appris que, de toutes les images produites (ne serait-ce qu’un peu) par la main de l’homme, seule la photographie, rivée à l’ici et maintenant de la prise de vue, était du même coup liée au geste, au corps, à l’acte du photographe; à sa présence, même s’il n’agit que dans ses moments d’absence.
Sur le versant théorique du geste, on fouinera du côté du philosophe Michel Guérin; de l’écrivain Charles Dantzig (qui, en 2017, entreprenait, en 143 chapitres, d’inventorier tous les gestes vus et retenus); ou encore du sémiologue Vilem Flusser, qui faisait du geste de photographier le geste philosophique par excellence, philosophie par le regard et par l’action, philosophie en œuvre dans l’espace, observable à travers la démarche du photographe. Côté « raisons pratiques », on rappellera l’origine plus concrète de la présence de ces images aux « RAVI » : images produites par les étudiantes et étudiants de B1 (ils font de la photo depuis 6 mois !), invités à travailler librement au départ de ce thème donné, avec pour objectif que cette petite vente contribue à financer d’autres projets, à prolonger le mouvement.
Chaque geste est dès lors… un geste qui compte, il n’y en a pas de petit ! Et marquer un intérêt, ou une simple présence, faire un pas et jeter un œil — c’est déjà agir et contribuer.
Une exposition photographique des étudiants de B2 et B3 photographie de l’ESA Saint-Luc Liège.
Bien que la pandémie de Covid-19 persiste et nous distance les uns des autres, nous avons souhaité nous réunir autour d’une exposition photographique. Nous, ce sont les étudiants en photographie de deuxième et troisième année de l’ESA Saint-Luc Liège.
Notre défi fût d’organiser une exposition photographique sans nous rencontrer et de faire cohabiter dans l’espace intimiste de l’An vert, tous styles, tous angles et tous sujets photographiques. Tantôt s’interpellant, tantôt s’entrechoquant… Et pourtant, parmi toutes ces images, subsiste un intérêt commun: le regard. Chaque photographe porte et apporte un regard propre sur ce qui l’entoure. Il capture un instant et le partage avec le monde, avec vous.
Cette exposition est avant tout synonyme de nuance. Nuance de regard, nuance de lumière, nuance de gris… Et si nous avons réunis essentiellement des clichés noir et blanc, cela ne vous empêchera pas d’en voir de toutes les couleurs.
19h : projection suprise !
Cette fois-ci, laissez-vous surprendre …
L’équipe du Ciné-club vous concocte une projection surprise. En ces temps d’incertitudes sur notre quotidien, quoi de mieux que de se laisser surprendre positivement ? Tenter l’expérience et rejoignez-nous à l’An Vert pour le dernier ciné-club de 2021.
Informations pratiques
Accessible gratuitement
Covid safe ticket
Le mardi 7 décembre
Dès 18h
À l’An Vert (rue Mathieu Polain n°4 – 4020 Liège)
La nouvelle BD de Philippe Sadzot
30 novembre 2021 by Elsa Cabergs
Exportation d’armes : le commerce mortel de l’Europe
Découvrez, le premier décembre 2021, la nouvelle Bande Dessinée de Philippe Sadzot, Benjamin Vokar et Tomasz.
Le grip et la fondation Rosa Luxemburg sont à l’initiative de cette bande dessinée qui vous explique le commerce international des armes, montre ce qui ne va pas et offre un aperçu de la façon dont nous pourrions mieux lutter contre la prolifération d’armes. Ils nous invitent à plonger dans ce monde méconnu du commerce des armes…
Il est impossible de déterminer le nombre d’armes à feu qui circulent dans le monde mais une chose est certaine : il n’y en a jamais eu autant ! Selon les dernières estimations, il y en aurait aujourd’hui plus d’un milliard. Et si l’on considère les quantités qui sortent chaque jour des arsenaux, ce flux n’est pas près de diminuer.
Les États européens portent une grande part de responsabilité dans cette situation. Les armes fabriquées en Europe sont utilisées pour blesser et tuer dans le monde entier. Alors que des gens perdent leur vie, leur santé, leurs proches et leur logement dans les conflits armés, les fabricants d’armes génèrent des profits. L’industrie européenne de l’armement est un secteur opaque qui viole les lois, influence les décideurs et se dérobe souvent à ses responsabilités.
Il n’y a pas de contrôle suffisant du commerce des armes en Europe. Une fois qu’une arme a été exportée, personne ne peut garantir quoi que ce soit. Entre la préservation des intérêts économiques et le respect des droits humains, entre les engagements pris au niveau international et la réalité pratique, il y a des marges et des contradictions.
Face à cette complexité, le GRIP et la Fondation Rosa-Luxemburg (Bureau de Bruxelles), ont estimé qu’il était important pour nous, citoyens, de découvrir certains rouages du système, pour nous permettre de mieux comprendre et peut-être de peser sur les décisions, parfois contestables, que prennent les autorités dans ce domaine. Cette bande dessinée explique le commerce international des armes, montre ce qui ne va pas et offre un aperçu de la façon dont nous pourrions mieux lutter contre la prolifération d’armes. Nous vous invitons à plonger dans ce monde méconnu du commerce des armes… Suivez le guide !
Depuis plus d’un an, l’École Supérieure des Arts Saint-Luc Liège a proposé à ses B1 en Photographie de travailler sur le thème de la puissance du lien homme-animal dans le cadre de l’exposition ANIMAL PICTURES, en complément de LOVE – Animal Stories, la nouvelle exposition que propose le Musée de la Vie wallonne.
Avec l’aide de plusieurs enseignant·e·s, puis sous la houlette de l’équipe de commissariat et d’accrochage du Musée, le résultat – partiel – de ce travail est à présent disponible dans la cour intérieure du bâtiment, aux côtés d’images puisées dans leurs collections propres ou dans celles du Musée de la photographie à Charleroi.
Le Centre culturel de Marchin-Modave-Clavier et la Fondation Bolly-Charlier (galerie Juvénal à Huy), dans le cadre d’une expo collective intitulée « Nos animaux les bêtes », montreront à partir d’octobre d’autres images réalisées par les étudiants sur ce thème, ainsi que des travaux d’étudiants d’autres sections.
L’an dernier, alors que le covid nous force tou·te·s au confinement, les étudiant·e·s de dernière année de l’École Supérieure des Arts Saint-Luc Liège finissent leurs études isolé·e·s, les événements étant tous annulés donc la traditionnelle expo de fin d’année. Impossible pour elles et pour eux de montrer au grand public leurs travaux, notamment leurs travaux de fin d’études (TFE).
Certain·e·s n’ont pourtant pas lâché le morceau ! En effet, les diplômé·e·s de la section Photographie de l’année académique 20219-2020 devaient montrer leurs travaux de fin d’études en 2020 mais l’exposition a dû être annulée pour les raisons que nous connaissons.
Et bien, cela sera chose (enfin) faite en 2021 ! L’exposition (IM)POSSIBLES reprenant les TFE des étudiant·e·s alors en B3 Photo sera visible les 17, 18 et 19 juin à L’image sans nom.
Les ancien·ne·s étudiant·e·s sont :
Laura Bourguignon, Emilie Burggraeve, Théodora Colige, Romain Coty, Damien Dejasse, Bryan Godefroid, Justine Guns, Nayef Hazimeh, Marie Jourdain, Eliot Lambert, Axelle Latour, Philippine Lecharlier, Sarina Mattiacci, Mehdi Merabti, Aurore Mignolet, Alexandre Duy Nguyen, Robin Nissen, Lauren Pearson, Julie Roland et Layla Saâd.
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